Le SURICATE ne MEURT JAMAIS !
Pas un brin d’air, le soleil brille, il fait chaud. Presqu’envie de me mettre à poil.
La manche à air ne décolle pas d’un pic et la girouette est totalement statique. Sacrée Bourique… (ça rime, non?!)
Il est 16hoo et hop une levée de brise avec l’apparition des ombres refroidissantes.
Merde, merde, merde, c’est vent de cul mon Fredo. Je gaz illico à Roche en Régnier.
Remerde, pas une pic d’air. J’étale quand même la voile en espérant une tiote bouffe. Rien de rien!!!!! rien ne bouge, même pas la biroute. Encore moins la mienne !!
Tanpis, je me lance à l’arrache……. je cours, cours, cours, , ca décolle dans la petite pente avec légère ressource et mes pieds touchent plus terre. Punaise je sents que la voile replonge et je me vois pas recourir dans les genêts. Si c’est le cas, je finis en vrac roulér bouler, version Nem biologique…
M’en fou, je laisse planer, lève les pattes et je sents ces putains de genêts me caresser mes jolies fesses, euh la sellette pardon!. Ca fleur bon l’anus de chez trou de bal ce vol.
Que c’est bon après plus d’un mois sans vol (faute de conditions météo favorables).
Le soleil se couche et j’enquille au dessus du Chambon de Vorey, pousse un cri de joi, envoi deux tours en 360 et passe à plusieurs reprises au-dessus de la Loire avant de poser comme une fleur sur l’autre rive.
Croyez-en. Ca a duré 5 minutes, mais j’ai pris plaisir à voler comme au premier jour.
Un SURICATE ça a du flair !!! Ca réagit!!
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