Ballade au dessus du Puy, gros tas pour Franck !
Bon ben, nous avions vu cette journée mailleure qu’elle n’était, une fois de plus ! Remarquez il vaut mieux ça que l’inverse. Arrivés au déco de Chaspinhac Est à 11h35 précises comme trois pets fumants (Franck, Seb et moi), ravitaillement, observations méticuleuses (vous nous connaissez !) et déco à 12h36 (toujours précises) telle la patrouille de France, à la queue leuleue, le tout dans un tout petit cycle (de toutes manières il n’y avait que ça). Arrivé à la ligne HT, ça monte un peu, très peu, j’avance et trouve le thermique qui en deux étapes me montera à 1690m (j’ai bien dit 1690 m ! ça fait rêver !). Seb se perd un peu, le perd un peu, pendant que Franck cherche un trèfle à 4 feuilles (il en fallait bien un au tas vues les conditions ! J’aurai préféré Seb moi aussi, mais bon, c’était toi !) . De là, constatant qu’il n’y a pas de dérive, pas de beau plafond, le mot d’ordre sera d’exploiter tout ce qui traîne, en tentant de naviguer selon les nuelles, de plus en plus rares. Je bricolerai finalement tout ça, jusqu’à Concis, après avoir eut à nouveau le plaisir de passer au dessus du puy. Un vol de 20,6 kms pour 1h12’26 » précises. Seb posera à Aiguilhe après avoir salué les pénitents montés voir la vierge (ne cherchez pas de contrepetrie, je pense qu’il n’y en a pas, ou alors à l’insu de mon plein gré ) .
Je tiens à préciser que les personnages du récit son bien réels.
Merci Seb pour le bout de récup.
Merci Franck de ne pas avoir tourné à l’envers dans les thermiques !
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